Deux semaines, c'est le temps que je suis resté sans connexion internet. La faute à mon fournisseur, dont je tairais le nom, incapable de transférer rapidement ma ligne ADSL. Je vous épargne les détails, mais la souffrance a été terrible. Tout ce qu'il y avait d'important à faire comme aller sur Facebook, la plate-forme des échanges inutiles, lire des articles, regarder des rediffusions d'émissions manquées, je n'ai pas pu faire tout cela. J'ai pu garder le contact avec le monde virtuel avec mon smartphone, même si j'ai volontairement limité son utilisation de peur d'avoir mal aux yeux. La vérité, c'est que j'ai apprécié cette coupure qui m'a permis de me ressourcer un peu, loin des écrans d'ordinateur. Comme quoi, il y a une vie sans le Net.
En même temps, je dis ça, je dis rien...
100% d'accord; et j'ajouterai que facebook est un remake de jerry springer à l'échelle mondiale, le détail qui tue est que facebook abêtît les masses de plus en plus. Ca me rappelle une question que je vous avais posée il y a quelques mois, et votre réponse illustra tout le malaise que facebook crée dans notre intellect:
RépondreSupprimer-T'es disponible sur le tchat de facebook ces jours-ci?
-Malheureusement oui...
Cette réponse est agréablement ancrée dans ma mémoire.
Je me rappelle de cette réponse. Elle traduisait en fait un état d'esprit. Facebook reste, malgré tout, l'un des loisirs les moins onéreux...
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